L’emballage biodégradable fait référence à un empaquetage qui s’altère en dessous de six mois en raison de la présence de bactéries dans l’environnement. Seules les minimes particules récupérables par les végétaux doivent être conservées.
Quelle est la dissemblance entre un emballage compostable et emballage biodégradable ?
Un emballage compostable est un empaquetage qui doit capable se détériorer en résidu riche en inorganiques en dessous de trois mois sous quelques règlements (chaleur, existence d’eau et d’oxygène). Le débris remporté sera utilisé comme engrais naturel pour les champs culturaux ou les potagers. Il empêche le besoin d’engrais hautement nuisible pour l’environnement.
La principale dissemblance réside dans la période de désintégration et l’utilisation finale : les empaquetages compostables deviennent du compost pour l’agriculture et l’horticulture, alors que les emboîtages biodégradables, une fois décomposés, ne sont utilisés que pour la nature.
S’il répond aux deux critères suivants, l’emballage peut être dégradable ou compostable : il s’altère naturellement en dessous de six mois et se décompose dans un milieu examiné en dessous de trois mois. La règle EN 13 432 détermine tous les spécifiques des packaging dégradables et compostables.
SML Food Plastic est un fournisseur d’emballage alimentaire que vous pouvez utiliser dans l’usage domestique ou professionnel. Ils proposent différents sortes de barques : des barquettes pour sushi, viandes ou autres aliments.
Quels sont les atouts des packaging bio ?
Les packaging compostables et dégradables présentent davantage atouts que les empaquetages classiques, qui peuvent être divisés en 5 parties :
· Ils sont créés à l’issue de substances reconductibles (bois) ou de débris culturaux (fibre de sucre de canne).
· Pendant le processus de fabrication, ils répandent moins de dioxyde de carbone (jusqu’à 70 % de moins que les empaquetages en plastique).
· Grâce au compostage, ils entrent dans une boucle fermée renouvelable.
· Ils sont neutres en dioxyde de carbone : les plantes propagent beaucoup de dioxyde de carbone qu’elles captent
· La dépense de confection des emballages biologiques diminue toujours plus, alors que le montant des emballages classiques accroît progressivement (en particulier en raison de la hausse du coût du pétrole)
